Ces 3 aliments plébiscités par les enfants sont à bannir selon un médecin, voici pourquoi ils inquiètent tant

Les enfants raffolent souvent de certains aliments qui leur arrachent un sourire… mais parfois aussi des points sur leur carnet de santé ! Saucisses, surimi ou compotes en gourde : le Dr Jimmy Mohamed tire la sonnette d’alarme sur trois « stars » de leurs assiettes à évincer sans remords. Voici pourquoi il vaut mieux apprendre à dire non à leurs yeux de Chat Potté.

Saucisses industrielles : le (faux) best-seller à bannir

Les saucisses de type Knacki tiennent le haut du pavé dans le classement noir du Dr Jimmy Mohamed. Certes, elles font briller d’envie les yeux (et parfois les bouches) de nos enfants ; mais du point de vue nutritionnel, c’est un fiasco complet. Pourquoi ? La recette a de quoi refroidir les plus gourmands :

  • Restes de viande : rien à voir avec le bon rôti du dimanche, ici on tape dans les chutes.
  • Exhausteurs de goût, nitrites, additifs : des ingrédients bien moins reluisants qu’un vrai passage à la boucherie.
  • Plus de lipides que de protéines : pas gagné pour les muscles.
  • Beaucoup de sel : gare aux reins et à l’habitude du goût salé dès le plus jeune âge.

Le Dr Mohamed n’y va pas par quatre chemins : selon lui, ces saucisses « ne devraient même pas être données aux animaux ». Cela a le mérite d’être clair ! Il rappelle le danger que représentent les aliments ultra-transformés pour les enfants, pourtant friands de ce genre de produit facile à manger (et à cuisiner). Premier signal d’alerte dans les assiettes…

Le surimi : un goût de crabe… sans crabe et sans intérêt

Le surimi, c’est le joker des parents à court d’idées pour faire manger du poisson. Sauf que, selon le médecin, il s’agit d’un « agglomérat de restes de poissons, pas réellement du crabe, même si certains industriels ont fait un effort ». Le problème ? « C’est de la protéine de mauvaise qualité », insiste-t-il.

Alors, non seulement votre enfant n’aura pas l’impression de plonger sous les tropiques, mais côté composition, on reste loin du compte :

  • Pauvre en bons nutriments : on fait l’impasse sur les véritables bienfaits du poisson.
  • Pas de vitamines ou minéraux à la hauteur du poisson frais.

Conclusion : privilégier toujours le poisson frais — certes, il faut parfois négocier, mais c’est autrement plus riche en lipides, vitamines, minéraux et protéines de bonne qualité. Petit conseil pour tordre le bras au surimi de temps en temps : dégainez le cabillaud poêlé ou le saumon avec un filet de citron… Ça marche (presque) à tous les coups !

Compotes en gourde : la fausse bonne idée du goûter

Les compotes en gourdes, si pratiques et bien rangées dans le cartable, ne trouvent pas non plus grâce aux yeux du Dr Mohamed. Ce que les enfants croquent à pleines dents… se résume hélas à :

  • Trop sucré : la gourmandise l’emporte sur l’équilibre.
  • Très peu de fibres : les bienfaits du fruit s’évaporent.
  • Frein à l’apprentissage de la mastication : avec la texture lisse, adieu les efforts de mâchage – et ce n’est pas anodin pour le développement.

Une recommandation simple s’impose : leur donner des fruits entiers dès qu’ils sont en âge d’en manger. Croquer dans une pomme ou une poire, c’est bon pour la santé… et les zygomatiques !

Les alternatives à privilégier : plus de couleurs dans l’assiette !

En bonus, rappelons ce que souligne l’Assurance maladie : les fruits et légumes sont de véritables cocktails de vitamines, de minéraux et de fibres. Dès l’enfance, les consommer aide à prévenir les maladies cardiovasculaires à l’âge adulte.

Pensez aussi, au fil des repas, à proposer :

  • Des légumes variés
  • Des produits céréaliers ou des légumineuses, adaptés à l’appétit et à l’activité physique de l’enfant
  • Des produits laitiers, essentiels pour la croissance, les os et les muscles grâce au calcium, aux protéines et à la vitamine D
  • De la viande, du poisson ou des œufs (sans excès, nul besoin d’en manger à chaque repas), pour des apports en protéines et en fer, indispensables à la construction osseuse et musculaire

En cuisine, variez les plaisirs, jouez avec les couleurs et les textures (et autorisez l’enfant à mettre la main à la pâte : effet motivation garanti, ne serait-ce que pour goûter « sa » création !).

En résumé : saucisses industrielles, surimi et compotes en gourdes peuvent bien briller au palmarès des enfants, ils sont loin d’être les écoliers modèles côté nutrition. Préférez-leur de vrais aliments, pleins de fibres, de vraies protéines et de bonnes vitamines. Le tout, avec une bonne dose de bonne humeur à table… et un soupçon de persuasion parentale, on ne va pas se mentir !

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