Ces 5 marques de riz pointées du doigt : la liste choc révélée par les experts

Attention, une tempête secoue le rayon céréales ! Alors que les Français pensent piocher sans risque dans leurs paquets de riz favori, voilà que 60 Millions de consommateurs vient jouer les rabat-joie avec une liste de résultats qui va donner du grain à moudre à tous les adeptes du pilaf du dimanche. Découvrez la face cachée de cet aliment incontournable, et les marques qui n’ont clairement pas décroché la timbale !

Le riz : un incontournable… pas si innocent ?

On s’imagine volontiers que le riz, ce compagnon discret de nos assiettes, se choisit les yeux fermés. Après tout, les rayons des supermarchés en regorgent et sa popularité ne faiblit pas. En Chine, on en consomme 130 kilos par personne et par an, alors qu’en France, on se contente d’environ 6 petits kilos. Malgré un tel écart, l’aliment fait l’unanimité chez les jeunes comme chez les moins jeunes. Il est connu pour ses vertus sur la santé, mais, et c’est là que le bât blesse, tous les riz ne se valent pas !

Le magazine 60 Millions de consommateurs ne pouvait évidemment pas rester de marbre face à cette question cruciale : quels sont les meilleurs riz, et surtout, quels sont ceux à éviter ? Avec son flair habituel, la rédaction s’est plongée dans une enquête fouillée, bien décidée à départager le bon grain de l’ivraie.

60 Millions de consommateurs sonne l’alarme

Pour l’édition de février 2024, le magazine a sorti la grosse artillerie : pas moins de quarante références passées au microscope, du basmati au riz thaï, en passant par le long grain et le riz de Camargue. L’objectif était clair : mesurer les impacts sur la santé humaine et sur l’environnement de tous ces produits du quotidien.

Les experts se sont penchés sur trois types de substances particulièrement surveillées par la réglementation européenne :

  • Les pesticides
  • Les aflatoxines
  • L’arsenic

Sur les quarante riz analysés, quinze contenaient des résidus de pesticides, soit plus d’un tiers de l’échantillon. Petite mention spéciale (mais pas dans le bon sens du terme) aux riz basmati non bio, qui concentrent le plus de ces substances indésirables.

Des substances préoccupantes au menu

Dans le lot des pesticides, ce sont neuf produits chimiques différents qui ont été retrouvés. Deux molécules font particulièrement grincer des dents chez les experts :

  • Le tébuconazole, un fongicide utilisé aussi comme régulateur de croissance des plantes
  • La cyperméthrine, un insecticide de choc

L’Anses et l’Echa ne sont pas là pour rassurer, puisqu’elles qualifient ces substances de potentiellement cancérogènes, mutagènes et toxiques pour la reproduction. Pas vraiment le genre de petit plus que l’on souhaite dans sa salade de riz estivale !

Et ce n’est pas terminé ! Sur le podium des substances qui fâchent, un autre pesticide fait débat : l’isoprothiolane. Celui-ci a été repéré dans trois produits (Bon-ri, Saint Eloi et Ben’s). Fait cocasse digne du règlement européen, son utilisation est interdite dans toute l’Union… mais ses résidus restent malgré tout tolérés dans les aliments vendus. Cherchez l’erreur !

Côté arsenic, l’étude pointe particulièrement les riz de Camargue, et encore plus les riz long grain, qui s’avèrent relativement chargés de cet élément pas franchement en odeur de sainteté auprès des scientifiques.

La liste choc : cinq marques dans le viseur

Pour ceux qui veulent savoir précisément quelles références ont perdu leur zénitude, 60 Millions de consommateurs a livré son verdict. Parmi les très mauvais élèves, on retrouve :

  • Basmati origine Penjab de U
  • Vivien Paille Basmati
  • Riz basmati de Ben’s

Ces trois produits héritent d’un sévère 8 sur 20. Pas vraiment le bulletin de notes qu’on affiche sur le frigo, même avec un aimant rigolo !

Le Saint Eloi Intermarché Basmati fait à peine mieux avec un 9 sur 20. La palme du bonnet d’âne revient cependant au Pouce Auchan Riz long blanc de Camargue, qui décroche un maigre 6,5 sur 20.

Petite précision utile : derrière ces résultats, ce sont aussi les marques populaires auprès des familles françaises, comme Taureau Ailé ou Lustucru, qui sont implicitement invitées à plus de vigilance, tant la qualité nutritionnelle et la sécurité sanitaire peuvent varier d’une référence à l’autre.

En conclusion : Choisir un bon riz n’a vraiment rien d’une sinécure, mais pas question de bouder ce pilier de nos placards pour autant ! En surveillant les résultats des analyses et en restant attentif à la provenance et à la composition de nos paquets, on continue d’illuminer nos repas tout en évitant les écueils. Le riz garde sa place dans nos menus, mais notre vigilance aussi !

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